Plus fort que prévu entre fantasme et réalité

Catégories : Femmes soumises sexuelles
il y a 10 ans
Entre fantasme et réalité il y a un grand pas, voir même une montagne ! C’est ce que va découvrir Alice, une brune ravissante qui, en regardant des vidéos de BDSM sexuel, s’est dit un jour pourquoi pas moi ? Après tout, c’est une façon agréable de se faire du fric et de s’envoyer en l’air !

Oui mais entre s’éclater au lit avec son copain et vivre un gang bang en club libertin puis un gang bang avec des acteurs qui sont des hardeurs, il y a tout un monde ! Lorsque Alice a répondu à une annonce de recrutement pour des films porno, le producteur l’a contactée rapidement pour vérifier sa motivation puis la rassurer. Lors de l’entretien téléphonique, Alice lui avoué qu’elle aimerait être l’actrice d’un gang bang BDSM, un peu comme ceux qui sont organisés par Organisations84.

A la suite de ce premier entretien, les neurones d’Alice se sont envolés et ce n’est pas son petit copain libertin voir candauliste qui allait s’en plaindre, bien au contraire. Sa gourmande est devenue tigresse au lit et parfois soumise sexuelle en lui demandant de l’attacher pour la baiser sauvagement. De fellation gloutonne à la sodomie ou au rut sauvage en se faisant prendre comme une « chienne », Alice vécut des moments forts agréables.

Le jour J, assez intimidée et soudain moins motivée, elle se présente donc au lieu convenu où elle fait la connaissance des hardeurs du porno convoqués pour la vidéo. En la rassurant le metteur en scène se rend compte que son film risque d’être compromis si elle craque et se met à hurler « au viol » en refusant de continuer de tourner !

Par anticipation, lors du briefing il lui donne comme mission en filmant la conversation de crier « stop, arrêtez, pitié, libérez-moi, je veux plus, …. » et invite même Alice à s’entraîner de façon à ce que ses suppliques même réelles entrent dans son scénario et surtout, qu’elle ne puisse pas aller porter plainte pour viol. La préparation sécurisante filmée étant dans la boite, il l’invite à rejoindre le salon où les hardeurs commencent à s’impatienter. Pour la partie BDSM du gang bang, il l’entrave solidement avec des cordes avec un bon shibari avant de la laisser nue à genoux sur le sol.

  • Faites-moi crier cette salope, elle est briffée et quoi qu’elle dise, ne vous inquiétez pas, c’est prévu dans son rôle. On tourne !

En voyant arriver les quatre hardeurs nus avec de belles verges au garde-à-vous, Alice prend peur mais il est trop tard pour réfléchir. A sa mine déconfite, un des hardeurs prend un vibromasseur magic wand et commence à l’allumer en le passant sur la tendre intimité de la jeune actrice ne connaissant pas ce sex-toy. Pour Alice c’est une découverte surprenante et assez violente pour une première. Elle ouvre un large bec et … pardon, elle pousse des cris et donc ouvre la bouche dans laquelle l’un des hardeurs fourre immédiatement son sexe bandé pour lui imposer une fellation gorge profonde.

Le sens des mots gang bang BDSM prend tout son sens pour le metteur en scène, la fille ne joue pas, elle subit ! Ses cris d’une réalité étonnante seront très appréciés des auditeurs et en plus ils le font bander malgré son habitude des tournages. Pour Alice, les sensations et émotions sont bien différentes, les sexes durs comme de la pierre lui défoncent la bouche et la gorge à tour de rôle, les hardeurs la tenant fermement par les cheveux ne lui laissant pas le choix des armes à sucer.

Trouvant cette fille ultra bandante dans ses cris ultra réalistes, le metteur en scène se met nu et les rejoint pour profiter de la belle en pleine crise de désespoir. Quand elle essaye de le supplier réellement d’arrêter, il lui met aussitôt une main dans la bouche pour que ses paroles et suppliques ne soient pas captées par la caméra. En guise de réponse et de compassion, elle se fait traiter de chienne, de salope à baiser, il lui indique qu’elle va s’en prendre plein le cul et bien d’autres tirades courtoises appréciées par les personnes qui achèteront le film.

  • Allez les mecs, elle doit avoir la bouche pleine en permanence, il faut la dresser à se taire et à sucer cette salope ! Indique le metteur en scène pour qu’elle ne puisse parler librement.

Manipulée et retournée comme une crêpe, Alice se retrouve en deux temps trois mouvements entravée à quatre pattes fesses offertes sur une table basse. Le metteur en scène fait signe à un des hardeurs pour qu’il plante son sexe dans la bouche de l’actrice puis s’installe derrière elle pour la sodomiser sans plus de précaution. Les cris et suppliques d’Alice ne sont qu’un gargouillis de mots incompréhensibles quand il lui déchire le cul au sens propre du terme en criant « qu’est-ce qu’elle est bonne cette salope ».

De son côté, le caméraman ne loupe rien de cette sodomie brutale qui fera bander les acheteurs du film. Alice finit par craquer complètement, elle crie et pleure, les rivières de larmes emportent son rimmel sur leur passage pour venir se mélanger au flot de bave d’une pauvre fille se faisant défoncer la bouche. Les hardeurs se relaient dans la place ouverte par le metteur en scène, mais le passage étant fait la douleur est moindre. Elle pourrait apprécier se deuxième sodomie musclée car elle aime ça, mais les fellations gorge profonde f o r c é e l’en empêchent car elle est parfois à deux doigt de vomir ou d’étouffer.

Pour ne pas a b u s e r de trop, le metteur en scène décide de ne pas tenter la double pénétration qui en plus l’obligerait à faire une coupe et permettrait à Alice de s’exprimer et de demander grâce. Ce n’est qu’à la fin du tournage quand deux des hardeurs se reposent qu’elle parvient à jouir en poussant des cris à s’en déchirer les cordes vocales pendant qu’un véritable marteau piqueur lui défonce le fessier en non stop.

Histoire de l’achever par une seconde touche jouissive, le metteur en scène fait signe aux hardeur de faire un final avec une fellation plus une dernière sodomie et le magic wand pour la faire à nouveau jouir. Et là, Alice va si loin dans la jouissance que tout son corps convulse sous des contraction d’une puissance rare et totalement inconnues pour elle.

Lorsque le metteur en scène annonce « on coupe » Alice est comme absente, vidée de toute son énergie. Elle s’écroule sur la table et fond en larme lorsqu’ils la libèrent des cordes de shibari. Et là, à la surprise de tout y compris d’elle-même, son corps se remet à convulser comme si elle jouissait seule sans que personne ne la touche.

Portée jusqu’à la salle da bain, Alice revient un peu sur terre en prenant une douche salvatrice pendant laquelle elle se dit : c’était plus fort que prévu et entre le fantasme et la réalité…..

Ecrivaillon

VOIR LA VIDEO

PRECISIONS
Les femmes dites soumises sexuelles ne sont pas des objets. Elles choisissent librement et ce sont des jeux d'adultes consentants.
Toutes les soumises ne sont PAS soumises sexuelles.
Toutes les femmes ne sont PAS soumises.

QUELQUES LIENS

FORUM BDSM

LIRE des histoires érotiques de soumises sexuelles

VOIR plus de 2000 photos SANS PUB de femmes soumises sexuelles

VOIR plus de 200 vidéos SANS PUB de femmes soumises sexuelles

UNE BOUTIQUE très BDSM avec du matériel très pratique pour ces jeux

LIRE des histoires érotiques Hard

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement